« Le
Musée d’antiqués le plus riche du monde est
encore inaccessible, c’est le fond de la
Méditerranée[...] Nous explorons sans trop de peine la
terre et l’air, mais nous sommes loin de pouvoir rivaliser sous
l’eau avec les poissons qui, suivant l’expression de saint
Augustin, déambulent dans les sentiers de l’Abîme
» (Salomon Reinach).
C’est en 1925 que le philologue et archéologue
français Salomon Reinach (1858-1932), ancien directeur du
musée des Antiquités nationales de Saint-Germain-en-Laye,
écrivit ces lignes révélatrices de la
fascination exercée sur ce scientifique par la
Méditerranée et son patrimoine archéologique
sous-marin. Si elles gardent, quatre-vingt trois ans après avoir
été rédigées, toute leur force
évocatrice, il est certain, en revanche, qu’elles ne
traduisent plus les réalités de la recherche actuelle, que
celle-ci concerne la Méditerranée, l’Atlantique,
le Pacifique, l’Océan Indien ou encore les Mers de
Chine.
« Le
Musée d’antiqués le plus riche du monde est
encore inaccessible, c’est le fond de la
Méditerranée[...] Nous explorons sans trop de peine la
terre et l’air, mais nous sommes loin de pouvoir rivaliser sous
l’eau avec les poissons qui, suivant l’expression de saint
Augustin, déambulent dans les sentiers de l’Abîme
» (Salomon Reinach).
C’est en 1925 que le philologue et archéologue
français Salomon Reinach (1858-1932), ancien directeur du
musée des Antiquités nationales de Saint-Germain-en-Laye,
écrivit ces lignes révélatrices de la
fascination exercée sur ce scientifique par la
Méditerranée et son patrimoine archéologique
sous-marin. Si elles gardent, quatre-vingt trois ans après avoir
été rédigées, toute leur force
évocatrice, il est certain, en revanche, qu’elles ne
traduisent plus les réalités de la recherche actuelle, que
celle-ci concerne la Méditerranée, l’Atlantique,
le Pacifique, l’Océan Indien ou encore les Mers de
Chine.