IFAO
Pendant de nombreuses années, la tombe thébaine n 6 appartenant à Néfer·hotep (I) et Neb·néfer – deux personnages importants de Deir el Médîna ayant vécu sous les règnes d’Horemheb et des premiers ramessides – ne fut connue que par les dessins au trait exécutés par Henri Wild et rassemblés dans un fascicule paru en 1979 (MIFAO 103/2). Le texte qui devait accompagner ces planches et sur lequel l’égyptologue suisse travailla jusqu’à sa disparition, en 1983, ne fut jamais publié.
The book , also known as , by Muwaffaq al-Dīn b. ʿUṯmān al-Šāriʿī is the oldest treatise of (devotional visit to tombs and mausolea) to Cairo and Egypt that has reached us.The main difficulty linked to the transmission of this text is that most manuscripts contain many additions, which were probably added from the seventh till the tenth century AH.
Le d’Ibn al-Nāsiḫ est l’un des ouvrages de les plus importants et les plus anciens consacrés à l’Égypte et au Caire, après celui d’Ibn ʿUṯmān intitulé , qui est plus ancien. Ibn al-Nāsiḫ prétend corriger de nombreuses erreurs commises par Ibn ʿUṯmān dans son ouvrage, y ajoutant de nombreuses personnalités, là où l’ouvrage d’Ibn ʿUṯmān n’en mentionnait pas plus de deux cents.L’ouvrage d’Ibn al-Nāsiḫ est une source importante pour les ouvrages ultérieurs de topographie de la Cité des morts et de en Égypte et au Caire, tels que d’Ibn al-Zayyāt, d’al-Saḫāwī, ou encore d’al-Šuʿaybī.En rédigeant
L’histoire de la récitation coranique est une question peu étudiée. Ce volume est constitué d’un dossier rassemblant la plupart des communications tenues lors du troisième colloque de l’Idéo au Caire en octobre 2020 sur la récitation dans les premiers siècles de l’islam. Il offre un espace de réflexion sur les différents types de récitation au Proche-Orient de la fin du VI siècle jusqu’au IX siècle de l’ère commune : des contextes « religieux islamiques » (le Coran, le Hadith), « religieux non-islamiques » (le zoroastrisme, le christianisme syriaque) et « profanes » (les graffiti).
Cette nouvelle livraison du ( 31) présente dans une première partie l’actualité de la recherche avec son « Parcours régional ». Il s’enrichit cette année encore de l’apport de travaux archéologiques récents. Les deux premiers articles concernent le littoral méditerranéen et offrent des synthèses céramiques chronotypologiques, associées à des analyses pétrographiques. Le premier caractérise les productions amphoriques des époques ptolémaïque et romaine produites sur les rives du lac Mariout (cf. ).
La première partie, et de loin la plus importante, de cette monographie consiste en une traduction de toutes les inscriptions du grand temple d’Athribis, assortie d‘un bref commentaire. Cette partie comporte une introduction sur les différentes catégories de textes.La deuxième partie consiste en une analyse, en six chapitres, de la théologie du temple. Elle traite d’abord du panthéon du temple, avec à sa tête la déesse lionne Répit et le dieu Mîn, et s’intéresse à la centaine de désignations différentes utilisées pour les salles et le temple.
Du X au XVI siècle, la militarisation du pouvoir et des sociétés s'est intensifiée dans le monde islamique. Ce dossier, qui s’inscrit dans le cadre des travaux menés à l’Ifao autour d’une guerre envisagée comme un phénomène social et culturel, vise à participer à une meilleure compréhension des modalités de cette militarisation. Les études qui y sont présentées s’intéressent à la dimension spatiale de la guerre, qui a été largement délaissée par chercheurs.
Les hommes et les femmes de l’Antiquité entendaient-ils comme nous ? Étaient-ils sensibles à certaines sonorités plutôt qu’à d’autres ? Ces simples questions nous rappellent que les sons et leurs interprétations sont inscrits dans des constructions culturelles, à tel point que la définition même de la cacophonie et de la musique, du bruit et du silence, change en fonction des époques et des contextes.
Unités régionales et administratives, les nomes et toparchies découpaient l’Égypte ptolémaïque et romaine en une multitude de régions et districts permettant son contrôle total par l’État. Ce système, utilisé au plus tard dès l’Ancien Empire, a connu d’importantes modifications tout au long de l’histoire du pays. Toutefois, les remaniements semblent encore s’intensifier durant la période gréco-romaine.Cet ouvrage propose d’analyser le découpage territorial de l’Égypte, entre Éléphantine et Memphis, et ses fluctuations dès le début du III siècle av. J.-C., jusqu’à la fin du III siècle apr.
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