Pendant de nombreuses années, la tombe thébaine n 6 appartenant à Néfer·hotep (I) et Neb·néfer – deux personnages importants de Deir el Médîna ayant vécu sous les règnes d’Horemheb et des premiers ramessides – ne fut connue que par les dessins au trait exécutés par Henri Wild et rassemblés dans un fascicule paru en 1979 (MIFAO 103/2). Le texte qui devait accompagner ces planches et sur lequel l’égyptologue suisse travailla jusqu’à sa disparition, en 1983, ne fut jamais publié.
Depuis l’expédition de Bonaparte et le déchiffrement des hiéroglyphes par Champollion en 1822, l’intérêt de la France pour l’Égypte antique ne s’est jamais démenti, faisant de l’égyptologie une science majeure de la recherche française.Suivant cet élan, une Mission permanente est constituée au Caire en 1880, devenue quelques années plus tard l’Institut français d’archéologie orientale.
Depuis l’expédition de Bonaparte et le déchiffrement des hiéroglyphes par Champollion en 1822, l’intérêt de la France pour l’Égypte antique ne s’est jamais démenti, faisant de l’égyptologie une science majeure de la recherche française.Suivant cet élan, une Mission permanente est constituée au Caire en 1880, devenue quelques années plus tard l’Institut français d’archéologie orientale.