
La collection Bibliothèque d’étude (BiEtud) est essentiellement dédiée à la publication de recherches d’excellence portant sur l’Egypte ancienne.
Cet ouvrage présente les actes du colloque sur l’art rupestre et les graffitis en Égypte et au Soudan qui s’est tenu au Caire du 10 au 12 novembre 2019. Le spectre couvert par les contributions est très large, tant sur le plan géographique que chronologique, puisqu’il englobe des sources figuratives et textuelles datant du Paléolithique supérieur, des périodes prédynastique, dynastique et gréco-romaine, jusqu’aux époques chrétienne et islamique.
Y eut-il, aux différentes époques de l’histoire égyptienne, une frontière occidentale clairement définie d’un point de vue culturel et politique ?
Les hommes et les femmes de l’Antiquité entendaient-ils comme nous ? Étaient-ils sensibles à certaines sonorités plutôt qu’à d’autres ? Ces simples questions nous rappellent que les sons et leurs interprétations sont inscrits dans des constructions culturelles, à tel point que la définition même de la cacophonie et de la musique, du bruit et du silence, change en fonction des époques et des contextes.
Unités régionales et administratives, les nomes et toparchies découpaient l’Égypte ptolémaïque et romaine en une multitude de régions et districts permettant son contrôle total par l’État. Ce système, utilisé au plus tard dès l’Ancien Empire, a connu d’importantes modifications tout au long de l’histoire du pays. Toutefois, les remaniements semblent encore s’intensifier durant la période gréco-romaine.Cet ouvrage propose d’analyser le découpage territorial de l’Égypte, entre Éléphantine et Memphis, et ses fluctuations dès le début du III siècle av. J.-C., jusqu’à la fin du III siècle apr.
Cet ouvrage présente les contributions scientifiques de quarante-trois auteurs réunis pour fêter Christiane Zivie-Coche. Titulaire de la Direction d’études « Religion de l’Égypte ancienne » à la Section des Sciences religieuses de l’École pratique des hautes études, à Paris, de 1992 à 2015, Christiane Zivie-Coche a marqué de son empreinte les études égyptologiques en ce domaine et formé plusieurs générations d’égyptologues.
Cet ouvrage constitue la synthèse de la recherche sur la statuaire royale de la XIXdynastie dont le catalogue a paru en ligne en 2019. Le présent volume regroupe les résultats des observations sur les statues réparties par types.
Le monnayage de l’Égypte ancienne est-il si original ? Après son adoption tardive au ve siècle av. J.-C., en argent d’abord, puis en or et en bronze, la monnaie s’est diffusée dans le pays alors que les Ptolémées instauraient un système monétaire fermé. Elle est rapidement devenue un objet de la vie quotidienne, utilisée aussi bien par les pauvres que par les riches, bien que dans des cadres différents.
Le delta du Nil est à la fois le produit d’une histoire longue, celle de sa géologie, et d’une histoire plus courte, celle qui, des premières communautés agricoles jusqu’à nos jours, a vu l’homme aménager et façonner le paysage. Dans un environnement aussi mobile, l’occupation humaine à l’époque pré- et protodynastique (les Ve et IVe millénaires) est ici envisagée dans le contexte des phénomènes naturels qui ont permis l’anthropisation du milieu, mais aussi, inversement, gommé toute trace de cette implantation au fil des siècles. Les zones habitables sont très rares dans le delta égyptien.
Le présent ouvrage, issu de la thèse de doctorat de l’auteure, vise à démontrer le caractère essentiel du référent de la naissance dans les croyances funéraires de l’Égypte pharaonique, ainsi que les modalités de sa mise en œuvre. Les grands corpus funéraires égyptiens, depuis les Textes des Pyramides jusqu’aux Livres de l’au-delà du Nouvel Empire, sont riches d’allusions à une destinée post mortem envisagée comme une seconde naissance, calquée plus ou moins fidèlement sur le processus biologique de la première.
Ce volume publié en ligne sur le site de l’Ifao comprend le catalogue des statues royales de la XIXe dynastie, originales et remployées, et des statues attribuées aux rois de cette dynastie. Ce catalogue contient quelque 3000 photos et constitue un outil de travail exceptionnel pour les chercheurs qui s’intéressent à la statuaire royale de l’époque ramesside, tous les exemplaires de cette statuaire s’y trouvant recensés par l’auteur, dans un souci d’exhaustivité.
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