
La collection Bibliothèque générale (BiGen) propose des ouvrages originaux, tant par leur thème que par leur format, dans les différents domaines qui touchent l’Égypte, de la préhistoire à l’époque contemporaine. La série "Égypte contemporaine" se démarque des autres collections de l’Ifao par son format à l’italienne, ses textes bilingues et son iconographie généreuse. Elle offre au grand public des points de vue originaux sur une histoire et une culture d’une richesse exceptionnelle. La série « Travaux du Centre franco-égyptien d’étude des temples de Karnak» (TCFEETK) accueille, sous différents formats, les résultats des investigations archéologiques et des missions épigraphiques et architecturales menées dans le cadre des programmes du Centre franco-égyptien.
Cette publication contient une grande partie des ostraca qui ont été réalisés lors des travaux de construction des temples du début de la XVIIIe dynastie à Deir el-Bahari. Ces ostraca, dont le nombre est supérieur à 700, sont restés largement inédits plus d’un siècle après leur découverte.La plupart des textes traitent de l’organisation des travaux de construction. Certains ostraca font référence au service rituel dans les temples.
Le 12 congrès international des égyptologues (ICE) s’est tenu au Caire du 3 au 8 novembre 2019.Pendant ce congrès, 369 communications ont été présentées par les égyptologues de 30 pays, portant sur les thèmes suivants : l’archéologie (méthodes actuelles et fouilles) ; l’art et l’architecture ; la gestion, la conservation et la préservation des sites ; l’histoire ; la langue, la littérature et les textes ; la science et la technologie appliquées à l’archéologie et à l'égyptologie ; la pensée religieuse ; la société et la vie dans l’Égypte ancienne.
Dans la vallée du Nil émerge au terme d’un processus culturel complexe l’un des plus anciens États territoriaux du monde, dirigé par une royauté sacrée et une administration qui se développe et évolue durant les presque 3000 ans qui séparent la Ire dynastie de la conquête romaine.Au-delà de l’image d’une Égypte des pyramides immobile dirigée par un despote tout puissant, les recherches les plus récentes, issues de l’analyse de la documentation écrite et iconographique autant que des dernières découvertes archéologiques, amènent au contraire à peindre un tableau beaucoup plus nuancé.Du rôle
Parallèlement à la réimpression anastatique du livre de G. Lefebvre consacré au tombeau de Pétosiris en Moyenne Égypte, étude scientifiquement irréprochable mais limitée aux textes, est proposée dans ce volume une couverture photographique du décor de l'édifice, destinée à rendre justice à ce monument tout à fait exceptionnel sur le plan de l'histoire de l'art ; la qualité des bas-reliefs, la richesse du symbolisme et l'étonnante symbiose des styles pharaonique, grec et perse à l'extrême fin du IVe siècle av. J.-C. en sont les principales caractéristiques.
Cet ouvrage pratique se présente sous la forme d'un lexique réunissant le vocabulaire couramment employé sur un chantier de fouilles et de restauration en Égypte. Une première partie thématique recense les termes utilisés lors des activités de fouille et dans la vie quotidenne, hors du chantier. Une seconde partie, alphabétique, propose les mêmes termes sous forme de lexique français-égyptien et de lexique égyptien-français très utiles dans les situations de la vie courante.
Illustre historien de l’Islam médiéval, Gaston Wiet (1887-1971) fut également une figure éminente de la présence scientifique française en Égypte. Parfait arabisant, il s’intéressa à de nombreux aspects de l’histoire et de la culture égyptiennes. Son action à la tête du Musée arabe du Caire (aujourd’hui musée d’Art islamique) entre 1926 et 1951 fut décisive pour l’enrichissement, la publication et la diffusion de ses collections, et l’amena à devenir l’un des meilleurs connaisseurs de l’art islamique de la première moitié du xx siècle.
La porte du deuxième pylône du temple d’Amon constitue une des réalisations les plus monumentales des Ptolémées à Karnak. Construite au début de l’époque ptolémaïque, elle fut décorée sous trois rois successifs. Ptolémée IV Philopator n’eut le temps que d’appliquer son nom sur la porte basse avant que n’éclate la révolte thébaine. Après avoir rétabli l’ordre, Ptolémée VI Philométor décora en un premier temps la façade de la porte de scènes d’offrandes au dieu Amon. Une douzaine d’années plus tard, c’est le passage intérieur de la porte qui fut gravé.
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