Sylvie Cauville, directeur de recherches émérite au CNRS et directeur scientifique du site de Dendara depuis 1986, est l’auteur d’une soixantaine d’ouvrages : publication, traduction et analyse de textes hiéroglyphiques.
Le temple d’Hathor à Dendara, recouvert de couleurs somptueuses lors de sa construction il y a deux millénaires, vient de retrouver son éclat d’origine grâce au travail remarquable des restaurateurs égyptiens.Sur le toit du majestueux édifice, six chapelles décrivent le point culminant de la destinée d’Osiris : sa résurrection.
Le présent ouvrage se veut un complément à , qui offre l’édition des textes hiéroglyphiques et une couverture photographique complète du monument. Le lecteur trouvera ici la transcription et la traduction de toutes les inscriptions, précédées d’un commentaire richement illustré, qui souligne le caractère exceptionnel de l’édifice.
La Porte d’Horus achève le cycle, bimillénaire, qui a vu Edfou et Dendara unis par les liens religieux les plus étroits. Le domaine auquel elle donnait accès constitue une enclave de la ville méridionale. Horus rejoint Hathor, tous deux célèbrent Osiris Pa-Âkhem à la quadruple essence, sous lequel se subsument Rê, Sokar, Horus et Osiris. Les textes indiquent que l’atelier osirien était placé dans le domaine d’Horus ; de là, les processions se rendaient dans la nécropole osirienne, théâtre des mystères de Khoiak.
Des trois portes monumentales de Dendara (Isis, Hathor, Horus), celle d’Hathor est sans conteste et fort logiquement la plus imposante. Cet ouvrage, en accès libre, vient compléter l’édition des textes hiéroglyphiques et la couverture photographique complète du monument, en offrant au lecteur un commentaire du monument, accompagné de la transcription et de la traduction de toutes les inscriptions.
À Dendara, trois portes monumentales donnent accès respectivement aux domaines d’Hathor, d’Horus d’Edfou et d’Isis. Diverses cérémonies se déroulaient à proximité de ces édifices où la population profane pouvait s’approcher au plus près de l’enceinte sacrée.La Porte d’Hathor ouvrant sur le domaine de la déesse constitue l’ultime témoignage architectural d’un site dont les archives remontent au temps de Khéops. Elle fut édifiée sous les règnes de Domitien et de Trajan (81-117 apr. J.-C.).
Les différents monuments de Dendara accueillent environ deux cents divinités, soixante génies de la fécondité et quelque trois cents entités protectrices. Tous sont recensés dans le présent catalogue selon l’ordre alphabétique, individuellement ou réunis sous une seule rubrique pour les dieux mineurs, les génies de la fécondité ou les cohortes protectrices. Une transcription du texte hiéroglyphique est jointe à chacune des occurrences : un catalogue des offrandes et des statues représentées dans les cryptes clôt l’ensemble.Ouvrage mis en ligne grâce à l’aimable autorisation d
Les différents monuments de Dendara accueillent environ deux cents divinités, soixante génies de la fécondité et quelque trois cents entités protectrices. Tous sont recensés dans le présent catalogue selon l’ordre alphabétique, individuellement ou réunis sous une seule rubrique pour les dieux mineurs, les génies de la fécondité ou les cohortes protectrices. Une transcription du texte hiéroglyphique est jointe à chacune des occurrences : un catalogue des offrandes et des statues représentées dans les cryptes clôt l’ensemble.Ouvrage mis en ligne grâce à l'aimable autorisation d
Le temple d’Hathor à Dendara, admirablement conservé, est probablement la plus aboutie des réalisations architecturales de l’Égypte ptolémaïque et romaine et la richesse des compositions théologiques qui ornent ses murs est incomparable. Ses inscriptions hiéroglyphiques ont été éditées sous l’égide de l’Institut français d’archéologie orientale, d’abord par É. Chassinat puis par Fr. Daumas, et enfin par S. Cauville. Ce volume présente les inscriptions hiéroglyphiques des parois intérieures du pronaos.
Le temple d’Hathor à Dendara, admirablement conservé, est probablement la plus aboutie des réalisations architecturales de l’Égypte ptolémaïque et romaine et la richesse des compositions théologiques qui ornent ses murs est incomparable. Ses inscriptions hiéroglyphiques ont été éditées sous l’égide de l’Institut français d’archéologie orientale, d’abord par É. Chassinat puis par Fr. Daumas, et enfin par S. Cauville. Ce volume présente les inscriptions hiéroglyphiques des colonnes du pronaos.
Le temple d’Hathor à Dendara, admirablement conservé, est probablement la plus aboutie des réalisations architecturales de l’Égypte ptolémaïque et romaine et la richesse des compositions théologiques qui ornent ses murs est incomparable. Ses inscriptions hiéroglyphiques ont été éditées sous l’égide de l’Institut français d’archéologie orientale, d’abord par É. Chassinat puis par Fr. Daumas, et enfin par S. Cauville. Ce volume présente les inscriptions hiéroglyphiques des plafonds, architraves et parois extérieures du pronaos.
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