Le théâtre Nō
Études sur le drame lyrique japonais.
La collection des « réimpressions » a pour but de rendre accessibles aux étudiants, aux chercheurs et à un public curieux, des études classiques et toujours fondamentales.
Ce volume reprend en fac-similé la série d’articles que Noël Péri (1865-1922) publia dans le Bulletin de l’École française d’Extrême Orient entre 1909 et 1920.
Prêtre des Missions étrangères, il arriva au Japon en 1888. En désaccord avec sa hiérarchie, il quitte les Missions. Il devient pensionnaire de l’École française d’Extrême-Orient en 1907. Il entame alors une carrière purement scientifique.
À l’aube du XXè siècle, nombre d’études et d’éditions critiques paraissent, attestant de l’intérêt que suscite le no chez les érudits japonais soucieux de valoriser la culture traditionnelle, mais aussi chez les écrivains, artistes et savants occidentaux. Parmi « les passeurs » de la culture japonaise vers l’occident, Noël Péri s’impose comme un précurseur. La rigueur de ses études philologiques, sa maîtrise de la langue japonaise classique, la justesse de son approche, son intelligence du genre font de son introduction à l’étude du no, parue en deux articles en 1909, la meilleure synthèse sur la question. Elle est complétée par les traductions et commentaires publiés en 1911, 1912, 1913 et 1920.
Le théâtre Nō
Études sur le drame lyrique japonais.
La collection des « réimpressions » a pour but de rendre accessibles aux étudiants, aux chercheurs et à un public curieux, des études classiques et toujours fondamentales.
Ce volume reprend en fac-similé la série d’articles que Noël Péri (1865-1922) publia dans le Bulletin de l’École française d’Extrême Orient entre 1909 et 1920.
Prêtre des Missions étrangères, il arriva au Japon en 1888. En désaccord avec sa hiérarchie, il quitte les Missions. Il devient pensionnaire de l’École française d’Extrême-Orient en 1907. Il entame alors une carrière purement scientifique.
À l’aube du XXè siècle, nombre d’études et d’éditions critiques paraissent, attestant de l’intérêt que suscite le no chez les érudits japonais soucieux de valoriser la culture traditionnelle, mais aussi chez les écrivains, artistes et savants occidentaux. Parmi « les passeurs » de la culture japonaise vers l’occident, Noël Péri s’impose comme un précurseur. La rigueur de ses études philologiques, sa maîtrise de la langue japonaise classique, la justesse de son approche, son intelligence du genre font de son introduction à l’étude du no, parue en deux articles en 1909, la meilleure synthèse sur la question. Elle est complétée par les traductions et commentaires publiés en 1911, 1912, 1913 et 1920.