« La pureté par les mots », ou Saddavimala, nous enseigne que la délivrance de l’adepte passe par la connaissance des syllabes du pāli. La première partie du texte résume le processus mystique qui permet à l’homme de changer de nature, pour renaître dans le Dhamma. La seconde expose les raisons de cette nécessité du recours aux syllabes : il faut reconnaître l’alphabet et les règles de formation des mots, prce que les notions phonétiques qui s’y rattachent sont liées aux différents stades de la genèse mysique du fidèle. La prononciation correcte des « voyelles brèves », des « voyelles longue », de la « nasale », des « syllabes sonores », des « syllabes sourdes », etc., engendre des productions physiques et mentales pures, qui font entrer le fidèle en possession d’un corps immortel – composé des organes de la Doctrine – pour le conduire au ciel.
« La pureté par les mots », ou Saddavimala, nous enseigne que la délivrance de l’adepte passe par la connaissance des syllabes du pāli. La première partie du texte résume le processus mystique qui permet à l’homme de changer de nature, pour renaître dans le Dhamma. La seconde expose les raisons de cette nécessité du recours aux syllabes : il faut reconnaître l’alphabet et les règles de formation des mots, prce que les notions phonétiques qui s’y rattachent sont liées aux différents stades de la genèse mysique du fidèle. La prononciation correcte des « voyelles brèves », des « voyelles longue », de la « nasale », des « syllabes sonores », des « syllabes sourdes », etc., engendre des productions physiques et mentales pures, qui font entrer le fidèle en possession d’un corps immortel – composé des organes de la Doctrine – pour le conduire au ciel.